Le monde n’est plus à l’abri des hackers, qui arrivent même à entrer dans le cerveau du système des administrations publiques et des entreprises. Grâce à l’utilisation d’un logiciel malveillant, ils bloquent tous les PC et demandent en retour le versement d’une rançon. L’administration publique de la santé Britannique et l’entreprise Renault en France ne sont que des exemples du ravage des attaques virtuelles massives.
Rappel du cyberattaque mondiale
Bien que l’événement remonte à plus de 3 semaines, il est important de rappeler à l’Etat et aux citoyens le phénomène de la tempête numérique, qui a touché plus de 150 pays. Grâce à un logiciel volé à la NSA, des pirates ont réussi à transférer des virus vers les fichiers partagés et demandent des rançons pour le déblocage du système. Ces phénomènes conduisent à s’interroger sur la capacité des administrations à contrôler l’univers informatique qui ne cesse de s’étendre et de se développer. Devenu un mal nécessaire, la technologie mérite bien une certaine limite et réglementation.
Les mesures à prendre pour se protéger
Quel arsenal doit-on adopter pour faire disparaître le piratage informatique ou du moins pour le réduire? L’ANSSI délivre ses fiches pratiques en commençant par l’adoption des mots de passe robuste, utilisation des logiciels à jour ou des OS, la surveillance des emails, des comptes et des publications. Il n’est plus question de négliger la sécurité et la prudence est de rigueur pour combattre les hackers. Particulier ou entreprise, faites gare à vos donnés et fichiers partagés sur le Web.